"Champagne?!? What is there to celebrate?
Crumbly-ness?"
-The Doc
Journée de la Francophonie Speech (2009-Mar-12)
Bonjour à toutes! Je m’appelle Michelle, et je suis athlète dans le sport du skeleton, qui est aussi connu comme “cette sport fou ou on se descend une piste glacé sur une petit traineau pas plus gros qu’une plateau de cafétéria, tête en avant, à 130 kilometres pas l’heure.”
Je suis née et j'ai grandi dans l’Ile de l’Ouest de Montréal, et si vous ne venez pas de la déjà deviner … je suis Anglophone.
Depuis mon enfance, mes parents m'ont inculquer le valeur de la bilinguisme. Ils m’ont rendu a la pré-maternelle en Français, suivi par l’école d’immersion. Mon père est essayé, cependant sans beacoup de succèss, de commandé des journées de Français au maison. J’ai participé dans la “Concours d’Art Oratoire” plus qu’une fois. Et La Petit Larousse, la Béscherelle et “la régle de si” se sont trouvé fréquement dans mon jeunesse … (cependant, je suis toujours incapable de vous expliquer “la régle de si”).
Quand j’était jeune, je penser cette exercise de langue sécondaire d’être riens plus qu’une imposition. Mais une jour, quand j’avais 19, je me suis trouvé, aucune blague, à Tombouctou, dans la pays de Mali, dans l’Afrique de l’Ouest. J’était avec une groupe de 37, et j’était la seul qui parler en Français. C’était là, dans les sables du Sahara, ou j’ai venu d’enfin d’apprécier les efforts de mes parents.
Mes voyages en Afrique ont étaitent mille fois plus riches que si je parler seulement en Anglais. Ils se sont permis moi des persectives et des experiences culturelles que mes copains uniligue n’avaient pas l’accès.
Mais ce n’es pas arrêter là.
Par-ce-que j’ai appris à parler en Français comme enfant, j’ai trouvé pas seulement une appreciation culturelle, mais j’ai trouve aussi une aptitude pour apprendre d’autres langues comme adulte, et une confiance à les essayer.
Et ce sont des valeurs et connaissances qui m’ont bien servi comme athlète.
Oui, quand mon équipe se trouvent perdu dans les montagnes de la Suisse, c’est moi qui doit demandé les directions. Et quand ils nous demande a l’aéroport en Allemagne ce qui est si lourde dans notres baggages, c’est moi qui doit expliqué c’est quoi une traineau de skeleton. Et quands on veut manger dans une restaurant en Italie, c’est moi qui dois traduire le menu et commande le repas. Même si je parle pas en Italien.
Mais c’est aussi moi qui peut parler et rigoler avec les juges. C’est moi qui comprend les annoncements a la piste. C’est moi qui n’a pas peur d’apprendre quelques mots dans la Russe, ou dans la Japonais, ou meme dans las Slovène, pour que je puisse briser la glace avec les athlètes des autres pays. Et c’est moi qui peut continuer après la saison sur la Facebook, or par email a parler avec mes nouveau amis.
Comme dans l’Afrique, je pense que mon expérience comme athlète est plus profound parce ce que je suis multilingue.
Et pour ca, j’ai mes parents et mon culture Québecoise a remercier. Oui, je suis Anglophone, mais j’ai beaucoup a feter pendant la Journée de la Francophonie.
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